TomFCNA a écrit:

rrrrrrrrrrrr j'ai regarder a peine les 20premieres minutes...

ben fallait aller jusqu'au bout t'as raté le meilleur

Je suis un des seuls a avoir bien aimé le film rrrrrrrrrr?

Sais pas ... Noté 2 étoiles au fait par Commeaucinema.com ...

moi jlé bien trouvé marrant

wa T fou sa pete tout shaolin soccer jlé pas trouvé pourri ce film, faut aimer le foot et la culture jap déja ^^

Ah moi aussi, j'ai adorer Shaolin Soccer ...

les trad. ete nul par contre...

Je ne suis pas spécialement un mordu de foot, mais ce qui m'a lpus dans le film, c'est l'humour asiatique !

Dans le meme genre il y a crazy kung fu qui est sorti.C est avec le meme acteur principal je crois.

Stephen Chow qu'il s'apelle !

Il y a deux films ultra-nul que j'ai vu ( mais qui font aussi partit de mes films préférés ) :
-> Vivre pour Survivre, alias Le diamand, alias White Fire ( 3 titres pour un navet ), il est dispo en dvd.

Allez, je copie colle des extraits d'une critique sur le film qui est vraiment a découvrir :

Voilà, un des sommums du nanard.

Jean Mary Pallardy (John Mary Pallardy ici) réalise l’oeuvre de sa vie, le témoignage de sa carrière chaotique. L’homme qui fut mannequin dans les années 60, choist le cinéma pour pimenter sa vie dans les 70’s.

Il enchaîne quelques courts métrages, puis passe aux choses sérieuses avec des films aussi inoubliables que : "L’amour chez les poids lourds" ou "L’arrière train sifflera trois fois". Vous l’aurez compris Jean Marie fait dans le porno soft, très en vogue à l’époque.

Sa carrière ne se limite pas toutefois au sexe (bien qu’il réalisa quelques pornos par la suite) car il réalise aussi de vrais films ambitieux.

C’est le cas de "Le ricain", "Overdose" et "White fire ", pour ne citer qu’eux.

C’est ce dernier qui nous intéresse.

Comme pour les deux autres film susnommés, il s’entoure de sa fidèle équipe d’acteurs : Gordon Mitchell et Jess Hann. Il se permet un petit caméo au début du film (il joue le père).

Non content de ce casting - quel casting ! - , il s’adjoint les services de deux gloires du B : Fred Williamson (ancien footballeur américain pro - surnommé The Hammer - et gloire de la Blaxploitation - Black Caesar notamment) et Robert Ginty (série "Les têtes brûlées" en 1976).

White fire est une histoire complétement improbable de diamant qui attire toutes les convoitises (puisqu’il est tout de même le plus gros du monde - attention effets spéciaux)et d’une pâle approche nécrophile de la soeur résuscitée. [1]

De toute façon, le plus important n’est pas là. Il faut se laisser bercer par ce grand n’importe quoi, le tout sur un score minable signé John Lord.

Des incohérences dans tous les sens, un jeu d’acteurs qui frise le néant et le doublage français qui n’arrange rien.

Mais on frémit de plaisir à la vue de la moustache, voire la coupe de cheveux de Robert Ginty ; devant les manières karatesques de Fred Williamson toujours prêt à castagner ; devant les costumes futuristes de la mine...

Les quelques exraits qui suivent devraient vous donner une idée du talent de John Mary Pallardy.


Fred, faut flinguer ce salaud de coiffeur !

The only one, the White fire !
http://nan.tv.free.fr/spip/IMG/wmv/white_fire_1.wmv
Mieux que Vertigo et avec un foulard rose:
http://nan.tv.free.fr/spip/IMG/wmv/white_fire_2.wmv
Fred Williamson flic véreux dans un bordel
http://nan.tv.free.fr/spip/IMG/wmv/white_fire_3.wmv
Attention, LA scène gore
http://nan.tv.free.fr/spip/IMG/wmv/white_fire_4.wmv
Final époustoufflant
http://nan.tv.free.fr/spip/IMG/wmv/white_fire_5.wmv

-> Sinon, dans la serie des gros nanard, je conseille Turkish starwars ( le vrai nom en turc est imprononcable et se traduit grosso modo par "l'homme qui va sauver le monde"

Bon, aucune distribution officielle, on le trouve sur du p2p traduit par des fans.

Je copie colle la critique de nanardland qui a découvert ce monument du cinéma :

En premier lieu je fus doute. J’ai pourtant pour habitude de placer une confiance quasi aveugle en les choix nanars de Rico. Sauf que cette fois ci je me demandais sérieusement si cet émérite mercenaire de la cause nanarde n’avait pas franchi un point de non retour vers une sorte de douce folie, s’il n’avait pas visionné la cassette maudite qui aurait eu raison de ses dernières neurones non encore contaminées...
« Passez chez moi ce soir, je crois que j’en tiens un gros » m’avait-il dit au téléphone.
-« Ah bon, et qu’est ce que c’est ?
- Un film turc !
- Tu l’as choppé où ?
- Je ne peux pas le dire mais ça a l’air énorme.
- C’est en français
-Non c’est en Vo non sous-titré, à ce soir »
Tuuut…tuuut…tuuut…

Pour la première fois donc, j’étais doute…Nous nous apprêtions tout de même a regarder un film turc en version originale non sous titrée (au fait détail qui a son importance, je ne parle pas un mot de turc).
Le sourire de Rico alors que nous nous asseyions sur magnifique canapé, nous en dit tout de suite plus long que tous les screnshots du monde…Le bougre était content, fier même de lui ! Il savait qu’il tenait quelque chose de gros, tellement gros même, qu’il avait mis les petits plats dans les grands pour nous aider à encaisser cette grosse paire de baffes nanardes que fût Dünyayi Kurtaran Adam: il avait fait des crêpes (note : j’ai d’ailleurs découvert ce soir là une fantastique confiture à la châtaigne. Décidemment ce fut une bien belle soirée).
Sans plus attendre nous lançâmes le film.

Des le premier plan, des turcs assis sur des tabourets, et coiffés de casques de mobylette sans visière ornés d’écouteurs de walkman modèle Philips 1983 dissertent devant des extraits vidéo de La Guerre des étoiles. Au bout de cinq minutes nous comprenons qu’on essaye de nous faire croire qu’ils sont dans des vaisseaux spatiaux.

Après un petit quart-d'heure de stockshots, les deux gars atterrissent sur une planète assez étrange, et se font attaquer par de sméchants cavalier sur fond de musique d’Indiana Jones ( pas une obscure face B, le thème connu de tous !). Les combats sont hallucinants puisqu’ils se règlent à grands coups de faux raccords et de trampoline.

Alors que je commençais à préparer ma troisième crêpe, je restai bouche bé devant une scène d’entraînement incroyable, qui ferait passer Rocky IV pour Raging Bull. On y voit le héros s’accrocher des boules de plâtre aux pieds et enchaîner des sauts que même un vieux cabri des alpes complètement défoncé à la colle pourrait égaler. Pendant ce temps son pote met des grandes baffes par terre, pour…ben euh pour s’entraîner comme il peut. Le but de la manœuvre : maîtriser à la perfection le saut, arme suprême du héros.

Ce qui est incroyable dans ce film, c’est qu’il commence fort, très fort même, mais qu’il n’arrête jamais de monter en intensité. Il est réellement d’une nanardise exponentielle (cf.shéma ci-dessous)..



C’est bien simple à la fin de du film je me demandais sincèrement si Rico n’avait pas mis de la drogue dans la pâte à crêpe tant j’avais l’impression d’halluciner !

(A ce propos, il s'agit d’ouvrir une parenthèse pour se focaliser un peu sur la « musique » du film. Comme évoqué plus haut, le thème d’Indiana Jones a été pompé et repompé tel quel tout au long du film. Mais là où le bas blesse c’est que les gens qui ont monté ça ne devait disposer que d’un studio « mono piste »…Je m’explique : le gentil saute, le thème d’Indiana Jones commence. Plan sur le méchant, le thème s’arrête net et fait place à un bruit d’explosion saturé au possible, on repasse sur le gentil, le thème reprend où il s’était arrêté S’il on ajoute à cela le fait que les bruitages sont très mauvais que le son grésille incroyablement et que l’on nous assène cela durant TOUT le film, on obtient le premier nanar aux vertus hallucinogènes ! pour avoir une idée du désastre, il suffit de jeter un œil aux extraits vidéos présents sur le site.)

Je passe directement à la fin du film, afin de laisser quelques surprises. Le gentil après avoir délivré son pote qui été retenu prisonnier à l’aide de fils de téléphones, part affronter le méchant. Il est pour cela armé d’une épée en carton en forme d’éclair et de gants plaqués or qu’il a obtenu après s’être fritté contre des ours en peluches roses géants. Avant de rencontrer son ennemie juré, il combattra un robot de deux mètres avec un gyrophare sur la tête. Il assoiera sa victoire en coupant le grand méchant en deux dans le sens de la longueur, lors d’un combat apocalyptique (cette scène aurait, parait-il inspiré Takeshi Miike dans Ichi The Killer).

En conclusion, une merveilleuse soirée, un nanar qui a placé la barre à des hauteurs insoupçonnées, et finalement un épilogue rassurant : Deux cent films chroniqués et encore de telles claques à prendre, on a encore du pain sur la planche à nanarland !

Quelques images :

Dernière modification par Julgas (10-11-2005 17:19:15)

shaolin soccer est une tuerie, faut aimer lhumour jap cest tout, jai pas vu crazy kung fu mais jai deja vu des extra etc et sa a lair pas mal
sinon ptdr jugas les images on se croerait dans film fakers^^